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Réflexions et pistes d'actions sur l'expression orale à l'ère du développement des technologies augmentées qui nous mangent du temps d'écoute et d'attention.
Comment adapter nos discours ? Comment créer de la valeur pour nos auditeurs connectés à leurs plateformes et déconnectés de nos paroles?
Pourquoi et comment l'oralité doit cimenter les brèches nées de la fracture numérique. Et pourquoi ça pourrait bien parler à tout le monde et créer de la valeur ajoutée.
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Sources et licence d'exploitation / diffusion exclusive de mon intervention plateau TV"
Je sponsorise mon plateau :
Description :
quantité : Tarif unitaire : Sous-total :
1. Je souhaite faire figurer le logo de ma société, cliquable vers son site web, sur la page du plateau où figure mon intervention : x € 700,00
2. Je souhaite intégrer un logo animé de ma société (environ 4 à 7 secondes) en introduction du sujet (je vous fournis une animation existante, ou à défaut mon logo pour vous laisser faire) : x € 1 250,00
"3. Je souhaite que vous diffusiez pour moi ce sujet dans d'autres médias sociaux : Youtube, Dailymotion, Facebook (sur ma page d'entreprise), et Vimeo. Vous gérez ces aspects pour moi.
(NB : n'est possible que si l'une des deux prestations précédentes est commandée)" x € 350,00
Je récupère les fichiers vidéo non brandés pour les réutiliser / diffuser à ma convenance
Description :
quantité : Tarif unitaire : Sous-total :
4. Je souhaite récupérer l'intégralité de mon sujet video sous la forme d'un fichier (mp4 HD) - et que suis en mesure d'éditer / d'héberger par mes propres moyens par la suite. x € 1 800,00
"5. Je souhaite récupérer pour un usage interne ou privé l'intégralité de mon sujet video sous la forme d'un DVD-video pouvant être lu sur n'importe quel lecteur de salon.
(n'est possible que si l'une des prestations 1, 2 ou 4 est commandée)" x € 180,00
6. Je souhaite en profiter pour renouveler cette opération tous les mois pendant un an, grâce à la formule d'abonnement "caféine.tv" proposée par Webcastory. Dans ce cas de figure, toutes les prestations ci-dessous me sont offertes ce coup-ci. x € 2 000,00
Below, I explain my motivation to the organizers:
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Réflexions et pistes d'actions sur l'expression orale à l'ère du développement des technologies augmentées qui nous mangent du temps d'écoute et d'attention.
Comment adapter nos discours ? Comment créer de la valeur pour nos auditeurs connectés à leurs plateformes et déconnectés de nos paroles?
Pourquoi et comment l'oralité doit cimenter les brèches nées de la fracture numérique. Et pourquoi ça pourrait bien parler à tout le monde et créer de la valeur ajoutée.
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J'aime les mots et la créativité dans le langage oral comme écrit. Ancien expatrié puis conseiller carrières dans 3 grandes écoles d'ingénieurs, j'ai créé Parler Authentique pour que vive l'oralité à l'ère numérique. Pour que malgré les enjeux qui pèsent ou saisissent, tout orateur aille plus loin que le discours-notification. Convaincre son public, l'inspirer, marquer les cœurs et les esprits. Allier la clarté à l'oral au génie de la persuasion.
J'ai l'immense chance de donner une conférence dans le cadre d'un colloque sur la bienveillance au travail le 22 novembre à Rennes. Le sujet de la conférence : 'Leaders bienveillants, connexions authentiques'. Je proposerai d'explorer en quoi le langage du Big Data peut être appliqué, de manière heureuse, à la gestion d'une équipe en entreprise.
Le fondateur de ce colloque, Jean-Ange Lallican, m'a contacté au printemps 2019 via LinkedIn. Après quelques échanges, il m'a suggéré de proposer une conférence. J'en prépare le contenu grâce notamment à 1 livre de Gilles Babinet, ex président du Conseil National du Numérique.
Pour vous les pros de cet écosystème, et tous les autres : j'ai choisi de vous en parler en raison des bénéfices et des avantages que vous pourrez en tirer - et qui sont les suivants :
On pointe la capacité d'attention que chacun.e voit réduite à la portion congrue.
Pour quelles raisons ? Plateformes et notifications génèrent au quotidien perte de concentration, dépendances et distractions.
On se demande aussi à quelle sauce nos données pourraient être mangées (et nous avec).
Je propose de nous entraîner à 'entraîner' la donnée (langage de data scientist)
Rétablir de la quiétude en connectant l'oralité à cette nouvelle réalité. Mieux comprendre les ressorts du Big data et de ses outils permet de sauver la face quand on parle à un auditoire toujours enclin à dégainer son smartphone et à vous accorder moins de sa précieuse attention.
Bluffer ses auditoires par un langage empruntant à l'ingénierie informatique de haut niveau.
A construire et à explorer ensemble.
Chef d’entreprise de production ou de conseil en industrie et technologies numériques.
Responsable d'une business unit.
Chef de service en administration, responsable d’une unité technique ou technologique.
Je préconise une approche agile et itérative de l’exercice de la prise de parole en environnement professionnel. Appliquée lors de mes ateliers, et appréciée par les participants qui progressent, elle a vocation à se décliner sous différents formats. Une personne en situation de handicap est revenue s’exercer.
Je les teste actuellement avec mes 1ers clients (voir les témoignages sur la page d’accueil de mon blog).
Parler authentique, c’est parler comme on ressent les choses sur l’instant, dans tel contexte.
Et cela se travaille. Dans les bureaux, les salles de réunion, ramener le langage émotionnel
à la raison aide femmes et hommes à gagner en persuasion. Et ça se travaille et se développe, avec pédagogie, et recherche d’alignement.
J’aspire à aider les dirigeants, cadres, engoncés à l’oral, à employer la prise de parole comme un facteur d’enchantement. Des équipes dirigeantes partout ne connectent plus avec leurs publics professionnels. Des prises de paroles assumées, rayonnantes et authentiques aident à recréer du lien et à redonner de la voix.
J’espère aussi parvenir à remettre l’oralité ‘au centre du village’. Pourquoi ? Pour complémenter l’essor des assistants intelligents à qui l’on assènera des injonctions, parfois brutes de décoffrage.
J’aime la langue française et les langues étrangères.
Mon parcours professionnel a été sinueux, entre expatriations, CDD et périodes
de recherche d’emploi en France. Je me suis entraîné avant des entretiens, devant mon miroir ou avec mon dictaphone, à repérer les tics verbaux, les expressions faciales (et faciles) et les attitudes corporelles. Une formation à l’utilisation de la voix, du bol vocal et des résonateurs, en 2016, a révélé que j’avais le pouvoir d’élever la voix au sens noble du terme.
Dès lors, occuper l’espace sur une scène me procure des sensations positives de progrès
et de prise accélérée d’élan. Moduler ses vibrations sonores pour caresser le cerveau
de ses auditeurs (expression de Jean Sommer), saisir un auditoire par la beauté du verbe, des mots bien mis en valeur et des idées bien agencées.
Ca vous démarque un orateur et ça fait vibrer les auditeurs.
J’aime aider et transmettre et sais le faire grâce à 7 ans de missions
accomplies et de prises de paroles en bureaux, en labos ou en amphis
pour 3 grandes écoles d’ingénieurs :
- Arts & Métiers Paris Tech (génie mécanique)
- ENTPE (transports, BTP, urbanisme)
- Centrale Lyon (transformation digitale)
Savoir où et quand s’arrêter lorsqu'on donne un discours : puissant aussi.
Je débute dans le métier. Cela dit, je prends de l’expérience, enseigne dans des écoles
d’ingénieurs et de designers du web. J’ai formé ou vais former une contrôleuse de gestion d’un groupe de pétrochimie, un créateur d’application mobile pour les laboratoires pharmaceutiques, le directeur d’une école pour élèves surdoués, et une chargée de mission handicap au sein d’une école de formation aux RH.
Ce que je décèle, c’est la propension à s’écouter moins, voire peu. Cela demande
un effort mental, à l’heure où plateformes et applications nous ‘mangent’ du temps
d’attention accordé à l’autre et aux signaux qu’il nous envoie. Le matin au lever ou le soir avant de se coucher, et à de nombreuses reprises dans la journée..
La pratique du pitch (en voir un exemple en 1 minute chrono en vidéo depuis la page d’accueil
de mon blog) aide à gagner en réactivité et en pertinence absolue et relative, en fonction du temps dont on dispose, du lieu où l’on s’exprime. Et bien entendu des personnes qui composent l'auditoire.
Une forme de noble tweet à l’oral, avec du caractère (et pas 280) et du respect pour les êtres
humains, collaborateurs, amis proches ou liens faibles, récepteurs de nos messages, et émetteurs de feedbacks précieux.
L’approche itérative et les prises de parole agiles. La méthode start-up. Le sens pédagogique pour aider clients, étudiants, et participants de mes ateliers aide à appréhender cette approche start-up de la prise de parole.
Trouver un sujet qui plaît, lancer une phase d’idéation, vérifier que le marché est mûr ou du moins attentif (le marché, en prise de parole, c’est notre public), et délivrer un pitch final : je connais.
Pourquoi ? Car j’ai appliqué ces méthodes lors de 2 weekends innovants en mars et décembre 2018 à Lyon (Startup Weekend Objets Connectés, Mindfhack). J’ai délivré le pitch final lors du Startup Weekend et ça nous a valu 2 prix.
C’est grâce à ces événements que j’écris ces lignes aujourd’hui.
Traiter la donnée n’est pas qu’un boulot de data scientist. C’est aussi un peu le mien quand je
propose et applique cette approche de la prise de parole en public.
C’est aussi celui de chacun, chacune, qui doit délivrer un discours, en fonction de données
de toutes natures relevées au bureau, en séminaire, en réunion, dans le bus,
à la radio, son blog favori et son fil d’actualité réseaux sociaux.
Mon souhait et ma mission est de les aider à traiter et sublimer ces données lors d’ateliers de prise de parole innovants.
J’ai fondé Parler Authentique à la suite d’une conversation en octobre 2018 avec un ami spécialiste en e-réputation et levées de fond. L’URL de mon site créé 3 mois avant était alors romainhabig.com.
J’étais encore en poste à Centrale Lyon et choisir un URL plus discret semblait plus approprié > www.parler-authentique.fr est né.
Les pitchs délivrés en weekends innovants (de type hackathon) et les partenariats que j’ai noués pour le cursus innovant Centrale Digital Lab de Centrale Lyon m’ont alerté sur une réalité. La fracture numérique entre citoyens ‘data compatibles’ et les personnes frappées d’illectronisme (11 à 12 M) de personnes va s’agrandir si on ne fait rien pour (bien) en parler.
A fortiori si on ne fait rien pour apprendre au public à en parler et pour apprendre à en parler en public.
Construire une présence en ligne sur les mots clés Prise de parole,
prise de parole en public, art oratoire, réussir son discours, parler sans stress,
formation en prise de parole etc
Le net américain regorge de sites professionnels et spécialisés.
Bloguer sur l’art oratoire est un pari en France, que je suis prêt à relever.
Bloguer revient d’ailleurs à désapprendre ce qu’on nous a appris à l’école ou à l’IEP (ma formation) en matière d’écriture. Le langage du parler quotidien est mis en valeur dans des articles de blog patiemment travaillés.
Faire grandir une liste d’inscrits, proposer des coachings en ligne sur la prise de parole, le pitch, le discours en milieu professionnel. C’est audacieux mais cela permettra à horizon automne 2020, je l’espère, de proposer des formations en ligne (ciblés : cadres, dirigeants, fondateurs de TPE/PME, chefs de service en administration centrale ou régionale etc.)
Proposer des formations à la prise de parole en anglais en milieu professionnel : voilà un autre chantier d’avenir.
Construire une communauté d’orateurs agiles (voire augmentés ?)
Je vis dans un T2 peu adapté aujourd’hui à mon activité. J’investis des tiers-lieux lyonnais
où les échanges avec entrepreneurs, créateurs et créatrices de valeur, me font soupirer
d’aise et m’inspirent. J’écris ces lignes depuis Tubà et sa traboule digitale (à Lyon).
Autre contrainte : avancer sur 2 tableaux en même temps, c’est-à-dire :
- Former à la prise de parole en présentiel, prospecter pour que ma clientèle se développe et mon approche se perfectionne : sur le terrain et dans ‘la vraie vie’
- Développer un blog et investir le domaine du web marketing, rédiger une newsletter : travail sur écran et assez solitaire.
C’est un réel défi. Mental, conceptuel, organisationnel. Financier car j’ai investi plus de 2000 €
en formations en ligne de qualité.
Je supprime les applis et fils d’actualités non pertinents pour me concentrer et m’aligner.
Je lance une routine matinale. Médite quasi quotidiennement sur Headspace (programme d’aide à la priorisation)
La création de contenu est chronophage car je publie des articles de 2000 mots de qualité pour me référencer. Je publie à fréquence mensuelle (j’aimerais arriver à une fréquence bimensuelle)
Les retombées financières viendront à terme.
Je travaille en mode itératif, sur écran, sur mes ateliers, en formation, pour avancer sur le développement de Parler Authentique.
Je sais par expérience professionnelle que les partenariats sont des outils utiles
et pertinents pour faire levier.
L’écosystème start-up et du web à Lyon, hyper dynamique (sans exagérer), grâce auquel
je formerai à l’art oratoire des participants d’un atelier blockchain lors d’un gros événement
mi novembre : le Blend Web Mix. Cela va m’apporter en visibilité auprès de pure players du
digital et de jeunes pousses aux technologies prometteuses.
L’enseignement supérieur privé à Lyon me connaît bien et me propose déjà des heures
de cours et formations pratiques (communication, storytelling, dev perso)
Les entreprises partenaires d’écoles d’ingénieurs (où j’ai officié comme chargé
des relations extérieures ou en charge des outils de conseils carrières et emplois)
tendent l’oreille si je sais leur parler (c’est mon métier, après tout ???? )
Je veux pouvoir inspirer et aider les cadres ou dirigeants démotivés, déconnectés
voire défraîchis (oups) à parler excellement bien en public. J'ai des touches dans le monde industriel et le monde
L’impact est augmenté par la présence d’un blog professionnel que j’ai créé
Il y a donc 1 an. L’eBook de 30 pages que j’ai rédigé sur la gestion du trac
a été téléchargé par 200 personnes à ce jour. C’est un début.
La fraîcheur dans le bon sens du terme ressentie lors d’échanges avec de nombreux élèves
ingénieurs 7 ans durant me rend aujourd’hui l’expression orale joviale et connectée. Encore
dans mon travail de formateur indépendant aujourd’hui). On me donne d’ailleurs presque tout le temps moins que mon âge réel (41)
Ma perception de ce qu'on pourrait faire ensemble si nous pouvions coopérer avec d'autres professionnels présents dans cette communauté - ce qu'idéalement je me permettrais d'attendre de vous...
« Démocratiser » (le mot est-il trop grand ?) à échelle locale la prise de parole agile et authentique.
Dé-siloter les esprits grâce à des ateliers et formations de qualité où les apprenants
se disruptent la prise de parole formatée.
Faire qu’elles et ils se sentent accueillis et accompagnés par une pédagogie précise, unique
et adaptée aux envies, besoins (voire douleurs).
A fortiori si divers secteurs d’activités y sont mélangés (à voir ?)
Je peux sonder en parallèle les actuels et futurs abonnés à mon blog pour connaître leurs CSP, âges, valeurs etc.
Nous pourrions organiser et animer des conférences sur le pitch, les neuro sciences,
l’impact du Big data et des écrans intelligents sur nos conversations.
Ce sont des idées.
J’aspire et travaille à devenir conférencier professionnel.
Parler pour dire les choses, ce n’est pas être franc du collier (façon ‘je vais en réunion
comme j’ai envie de me pendre’).
En même temps (expression à la mode de chez nous), j’ai écouté Rokhaya Diallo à la FNAC Lyon en mai dernier je crois. Elle était invitée à s’exprimer sur son livre. Je ne connaissais pas cette oratrice, un ami m’avait dit « Allons-y ».
Elle parle bien mais j’ai décelé un gros défaut à mon sens, et à mes oreilles : elle ne marquait
aucun silence. Ëtre entendu.e et parfaitement compris.e sera possible grâce à la capacité à savoir marquer des pauses éloquentes.
Si je forme à la prise de parole, c’est aussi pour inviter à explorer et magnifier la communication relationnelle. Comme dans une belle partition de musique, la rondeur des notes et la présence des silences importent.
Former, formateur : ce mot rebute ou peut rendre circonspect (interview de Philippe Lafaix).
Cela dit, former à la prise de parole itérative implique un réel effort des participants. Le public est impliqué dans l'écoute. L'orateur, l'oratrice ne doit pas se justifier quand ilou elle reçoit le feedback. Sinon, cela peut créer de petites tensions.
Formateur je le suis (je ne le revendique pas), ayant travaillé quelques années
dans l’enseignement supérieur.
Mettre en forme sa prise de parole à l’heure du Big data et des objets connectés, pour ne plus
parler dans le vide : voilà qui est peut-être plus parlant.
Aider une personne en situation de handicap (ce qui se répercute dans sa phonation) à
prendre confiance et à parler à un petit public. Et à revenir à mon atelier.
Faire que le public agisse, participe et se sente impliqué dans l’écoute.
Gérer le back-office tout en laissant l’initiative au groupe (je reprends les termes du témoignage
écrit d’un participant). Capter et bercer l’attention des auditeurs.
Les handicaps émotionnels et mentaux sont une réalité en entreprise, pour les managers
comme pour les cadres intermédiaires, employés ou techniciens. Ces handicaps étouffent ou
éteignent les voix (et ça peut faire jaser dans les couloirs d’une entreprise … cercle vicieux ou vertueux?)
J’ai une excellente mémoire des prénoms. Je pratique l’écoute active (exercice mental)
plus que de seulement entendre ce qu’on dit (processus biochimique).
Ma méthode a vocation à s’appliquer dans les environnements professionnels
où les enjeux élevés (ou perçus comme tel) bloquent et détournent des conversations
ou des dialogues prometteurs et créateurs de valeur.
Parler de mon métier qui est une reconversion récente et voir des sourcils de lever, entendre des fins de phrases avec l’intonation qui monte (étonnement) ou descend (j’entends, je valide)
Dire que j’ai un blog sur la prise de parole en public et comprendre que j’incube
un petit virus neuronal (peut-être bien)
Ecrire d’abord pour parler ensuite (je tiens un journal), ou parler pour écrire ensuite.
Aider des personnes qui n’en rêvaient pas tant à découvrir l’oralité, et à aimer ça.
Animer les formations en qualité de coach dans les écoles clients des mes services.
Pour que les choses avancent, je suis parfois provoc' et voici ce qu'il m'arrive d'annoncer autour de moi, dans mon contexte professionnel pour créer l'électrochoc :
Je créerai des formations en prise de parole en public en ligne. Oui. Même si
cette discipline s’enseigne par interactions humaines dans la vraie vie, je veux relever ce pari
audacieux et (presque) inédit.
Annoncer aux membres de l’équipe de la respectable Ecole Centrale de Lyon que je suis allé
faire le start-upper connecté dans des weekends disruptifs à Lyon. En présentant un PowerPoint, un jeudi en réunion. Et que ça s’est su. Et que ça a donné une bonne image de l’Ecole.
Dire en réunion de service que j’ai fait un post sur LinkedIn avec une image de l’équipe lors d’une signature officielle d’un partenariat avec une grande entreprise. Que ça a été viral et vu par 3500 personnes.
Que l'entreprise en question en a été satisfaite. Et que ce réseau ne fonctionne pas comme Facebook (on m’avait alors reproché de répandre de l’info pro comme on poste sur Facebook).
J’ai dû élever la voix, dans le bon sens du terme et la mesure dûe à ma fonction d’alors.
Rentrer gentiment dans le lard d’enseignants-chercheurs quasi indéboulonnables.
Ce sont les participants de mes ateliers qui sauraient le mieux en parler.
Connecter les membres d’une équipe entre eux. Paul J Meyer parlait de la communication comme la connexion humaine. Prendre la parole en public, utiliser la voix : en voici un vecteur de choix.
Pour que les managers osent parler authentique à leurs équipes, leur faire voir
en formation comment des progrès rapides sont à portée de main. Les écouter et leur faire entendre les bénéfices de l’écoute active comme condition première de prises de paroles réussies.
Inspirer : connecter les connaissances avec l’idée d’un désir de découvrir et créer plus.
Mes 5 valeurs : Innovation – Connexion – Respect – Empathie – Intelligence
Je pense que ma vision s’est déjà exprimée plus haut : éviter les futurs zombies connectés, glués par des algorithmes à leurs écrans, et que la prise de parole gêne aux entournures, désarçonne ou prend de court.
J’aide mes clients à démarquer leur entreprise, leur service, leur expertise ou leurs produits par des mots bien choisis. Je leur enseigne la capacité à occuper l’espace en prise de parole, et à travailler leurs voix pour plus de tact, d’impact et de rondeur. Les publics, potentiels acheteurs, apprécient cet effort.
Mon métier crée de la valeur au sens où mes clients, orateurs et oratrices, expriment les leurs et celles de leur entreprise ou organisation, ou employeur.
Il forme des futurs concepteurs de sites Web et de technologies innovantes à vulgariser leur savoir lors d’événements professionnels ou de réunions de travail. Ynov et IT Akademy me remercient pour les cours que je donne à leurs élèves de 1ère année.
Mon métier crée de la valeur sur le long terme quand je forme des futurs spécialistes
de la blockchain sur le pitch en novembre prochain.
Redonner le courage de parler à une personne qui vit un handicap, cela crée beaucoup de valeur. L'atelier que j'anime devient un petit laboratoire d'innovation sociale.
La prise de parole authentique est tant un vecteur de développement professionnel que personnel. Aucun jugement de valeur(s) n’est appliqué en atelier, et chaque orateur doit intégrer les observations du public sans broncher.
Comprendre, appliquer, progresser.
Chaque voix est unique car chaque diaphragme, chaque paire de poumons et de cordes vocales l’est aussi.
On peut utiliser sa voix pour maîtriser ses émotions, pour éviter de braquer ou meurtrir par
maladresse ou ignorance. Si on braque ou meurtrit par intention, je dis non.
L’oralité comporte une forme de poésie, qui est le reflet de l’âme. Importance des mots d’esprit sans faire du Luchini en réunion.
Les KPI diffèrent pour chaque type de client que je forme et selon les résultats qu'ils atteindront. Ils vont s’affiner avec le temps. L’enjeu à moyen terme : se spécialiser sur une niche précise avec des KPI tout aussi précis.
Le nombre d’inscrits à mon blog : 200 avec 3 articles invités. Pas mal mais peut mieux faire.
Les 2 écoles lyonnaises d’ingénieurs du web et l’EM Strasbourg qui m’ont confié 90 h de formations en communication, storytelling, développement personnel.
La conférence du 22 nov à Rennes : il y aura plus de 500 participants.
235 orateurs inscrits dans le Meetup que j'anime. Des gens qui reviennent et gagnent en assurance et en charisme oratoire.
Je garde l'oeil aussi sur des analytics, trafic sur mon blog et SEO.
je ne travaille certes pas seul : voici comment mes actions prennent en compte la dimension RH / l'équipe / le collectif, voilà ce que nous cherchons à construire ensemble :
J’ai des clients et des partenaires prescripteurs. Pour l’instant je suis en micro entreprise et la
vision que je préconise attire des partenaires (notamment toi, lecteur Fred)
Je vais travailler avec une agence qui propose des événements à Lyon, axés
autour du développement personnel, Ayé Events. J’ai rédigé 2 formations, dont je teste l’une d’elles dans une salle à Lyon en novembre (Sublimer le trac). Agence sérieuse et pour laquelle je suis, aux termes du contrat de partenariat, fournisseur de prestations de conseils en prise de parole.
.
D’autres progrès sont en cours, notamment avec Polypus, société récente qui met en lien entreprises technologiques et de coaching mutidisciplinaire, et qui va prescrire mes services (le fondateur et moi-même nous sommes rencontrés lors du Mindfhack de déc 2018 à Lyon). Polypus travaille par exemple avec l’ICH (Institut de Coaching Humaniste).
Participez à des conférences inspirantes, rencontrez des personnes qui sortent du cadre
lors de Meetups par exemple.
Inscrivez-vous à un Startup Weekend pour imaginer les produits ou service de demain.
C’est les 2 prix glanés à l’issue d’un weekend innovant qui m’ont décidé à me lancer dans l’aventure de l’entrepreneuriat.
La prise de parole, banale dans un quotidien gris, aseptisé, MBD (métro boulot dodo) n’est pas perçue comme un outil de progrès potentiel en entreprise. Pourtant, elle remplacera toujours avantageusement un email ponctué de points d’exclamation, lapidaire.
L’oralité est l’avenir. Même si on pourrait se méfier de rimes ou de phrases habilement tournées, il n’empêche que c’est de l’art (oratoire) et que ça aura toujours vocation à s’exprimer par la voix d’un homme ou d’une femme, à faire chavirer une foule, à marquer des temps dans l’histoire d’une organisation.
Personne ne naît oratrice ou orateur. On le devient.
La première qualité d'un homme ou d'une femme qui sait bien s'exprimer, c'est de se taire, de marquer des silences et d'écouter. Elle est pourtant indispensable. Cela s’apprend.
Les pire "bullshits" avec lesquels je souhaiterais qu'on cesse de me bassiner dans le contexte de mon métier - les pires propos / erreurs / postures à éviter dans mon écosystème : (NB : coup de gueule autorisé - que le puriste en vous s'exprime)
Les entrepreneurs devraient apprendre à respirer et à s’adresser clairement à leurs auditoires. Les prises de parole pour se présenter avec les bras croisés sur le haut du ventre, ou cachés dans le dos : no way !
La technologie belle et robuste, léchée, peut diffuser des messages à très longue distance et
dans plein de configurations.
Cela dit, le contenu du message, la manière dont on l’énonce, prévaudront toujours sur le canal ou l’outil qui le diffusent. Peu importe le flacon, il faut qu'on ait l'ivresse.
Que les CEO se le disent.
Des efforts à faire aussi sur les slides PowerPoint. Le ridicule de slides chargés qui tuent la comm.On a tous besoin de parler, c’est sûr. Mais le public a besoin de comprendre.
Prêter moins attention aux tweets qui se veulent ironiques, ravageurs, ou fondateurs d’une entreprise politique ou économique. Oser écouter les véritables orateurs et parler comme eux. Pratiquer l’écoute active comme seuls les meilleurs d’entre eux ou d’entre elles savent le faire.
La capacité moyenne de concentration baisse à 8 secondes. Le temps de lire un tweet.
Travaillons à sauvegarder notre attention et à nous prémunir des trop nombreuses distractions pour approfondir nos échanges, construire nos dialogues, sauvegarder nos environnements de travail et de vie.
A la manière d’un discours de Martin Luther King dont on se souvient encore 56 ans après,
alors qu’il l’a en partie improvisé (« tout discours improvisé a été réécrit 3 fois » Churchill)
En travaillant la qualité d’écoute de nos familles, proches collaborateurs, clients, prospects, amis, associés, confrères, copropriétaires, que sais-je encore… nous repérerons des pépites qui ont beaucoup de valeur.
Car, réalité économique et stratégique : les marchés sont devenus des conversations.
Et la communication interpersonnelle reste le meilleur moyen de résoudre les conflits, construire des projets ou trouver des solutions.
Le sujet que je propose de porter en talkshow / débat / webTV
Portons à l'écran un sujet relevant de ma vision ou légitimité professionnelle et/ou citoyenne. (rappel sur le principe du site : cette communauté professionnelle a pour vocation de préparer collectivement ses propres sujets avant qu'ils ne soient portés à l'écran (le plus souvent sous forme de talkshows TV, mais pas seulement) - et ce sont des membres comme vous qui les proposez initialement)
Chacun a le droit et le devoir d’élever la voix pour prendre la parole. Même quand cela paraît
délicat, impossible ou déplacé (parce que mon ou ma chef, parce que ce projet, parce que ces impératifs, parce que ces droits et devoirs …).
Alors… testons-nous sur le terrain, dans des garages, dans des entrepôts, dans des tiers-lieux. Le temps d’un weekend. C’est fabuleux.
Prenons la parole pour imaginer, valider et porter une création, un prototype.
Prenons la parole en public pour vulgariser nos désirs les plus vivaces, nos
ambitions les plus secrètes, nos technologies les plus subversives / disruptives.
Utilisons un langage imagé et pas trop technique, portons haut le verbe loin des
codes institués pour en faire un vecteur de création de valeur humaine et économique.
Nos prises de parole en public comme des prototypes accessibles, maniables, audibles
et bourrés de chaleur humaine.
Disruptons la prise de parole négligée / empruntée, ou codifiée (voire énarque)
Parler en public est un art subtil. On pose sa voix comme on pose sa personne (et tout le passé, les expériences qui vont avec).
Petit, j’aimais lire (j’aime toujours). Mon papa est un amoureux de la langue française. On écoutait en famille Bernard Pivot lire ses dictées.
Longtemps je me suis censuré parce que je travaillais pour accomplir des missions
en administration. Disons que je me suis « mesuré », c’est un terme plus adapté.
Je me suis sciemment exercé à prendre la parole lors de périodes de transitions professionnelles pour obtenir un nouvel emploi, puis en cours d’impro (1an), puis lors d’une formation axée sur le chant et l’utilisation de la voix en 2016.
Tout cela m’a permis de vendre 101 000 € de projets pour le cursus Centrale Digital Lab entre
fin 2017 et juin 2019 : projets de développement de briques technologiques et prototypes numériques par des élèves ingénieurs pour des grands groupes, des PME et des start-up.
De la vente complexe et tellement grisante. Les RDV entre enseignants chercheurs et entreprises, auxquels j’assistais, m’ont ouvert un champ de connaissances nouveau et magique : visualisation de données, objets connectés, intelligence artificielle …
Pour trouver des partenaires au cursus, j’ai assisté à des événements où entrepreneurs et
fondateurs parlaient en public de leurs projets, des réussites et des écueils.
Cela m’a ouvert les chakras de l’entrepreneuriat.
Le pitch final que j’ai délivré pour présenter le prototype Clearway, développé en équipe de 4 lors du Startup Weekend objets connectés de mars 2018 à Lyon, a agi comme un gong en moi.
La surprise de décrocher 2 prix, même symboliques, alors que je pensais juste avoir fait mon boulot.
Ca a beaucoup joué pour que j’ose prendre un virage à 180°. Et que j’élève la voix pour quitter le monde du salariat en CDD.
Aborder la pratique du pitch comme la création d’une brique de technologie humaine connectée aux ressentis du public. Faire un parallèle entre mon ‘passé’ en écoles d’ingénieurs traditionnelles,
où la parole est relativement formatée, et l’essor de produits innovants, disrupteurs, pitchés dans des tiers -lieux: contraste stimulant.
J’en fais le thème d’une conférence prochaine où je vais inviter à explorer ces liens entre le parler, acte charnel, et la technologie en bits et en pixels.
Prototyper sa prise de parole c’est opérant, et peut faire naître de nouvelles vocations.
La personne en situation de handicap qui progresse avec mes ateliers s’en découvre de nouvelles.
Pour comprendre à qui un débat constructif sur ce sujet profitera de façon notoire, qui est concerné, qui sont les possibles bénéficiaires (directs ou indirects) d’une réflexion approfondie à ce propos :
J’ai sondé des personnes en transition professionnelle dans un groupe Facebook dédié.
Interrogées sur la question « Quel sujet vous aimeriez traiter si vous aviez carte blanche
en conférence ? », 2 ou 3 m’ont dit « Pourquoi la fonction publique va droit dans le mur »
Prises de parole formatées, déférences ‘obligées’, réunions de service qui traînent en longueur. Un classement en catégories A, B, C qui date je crois de Napoléon Bonaparte, dépassé, qui engonce la prise d'initiative et la prise de parole dans le secteur public.
Prenons l'exemple d'un maire, par exemple, qui devra expliquer à ses administrés pourquoi cet objet connecté réglera désormais leurs tâches ou modifiera leurs habitudes.
Cela s'applique aussi à un chef d'entreprise et à ses collaborateurs.
Comprendre que prendre la parole n’est pas seulement affaire d’érudition ou de statuts, mais
aussi de langage corporel, de respiration profonde, d’occupation de l’espace, d’écoute de soi
et de son public immédiat.
L’actualité et/ou les tendances du moment qui justifient qu’on traite de ce thème de réflexion - et ce qu'il faut savoir pour comprendre le contexte dans lequel nous le traiterions :
La prise de parole en public et l’éloquence sont des sujets qui intéressent, captivent.
Le Brio, A voix haute : la force de la parole (films), le Grand Oral (sur France 2), l’essor des podcasts où l’on ressent l’émotion et l’intimité des voix.
Le rayon Entreprises de la Fnac comptait en juin 2019 22 livres sur l’art oratoire.
La cacophonie lors de la crise des Gilets Jaunes pointe vers ce besoin de comprendre comment valoriser l’expression orale en public. Les prises de parole du président Macron au milieu de citoyens, de notables et d’élus de villes de province interrogent sur de nouvelles approches de l’exercice.
Avant d’aller plus loin, les concepts clés à introduire pour que ce sujet soit correctement traité, et pour bien nous assurer que nous aurons un vocabulaire commun pour la suite :
Prises de parole itératives : l’itération, ou le sprint en langage start-up, permet d’avancer ensemble
vers un objectif matérialisé par une deadline. Quand le deadline est atteint, on évalue ce qui a fonctionné, ce qui n’a pas fonctionné. Puis on réitère, autant de fois que nécessaire, pour arriver à un produit minimum viable qui réponde aux besoins du marché.
En prise de parole, j’ouvre mes ateliers Meetup en disant que chacun.e offrira un prototype de prise de parole, et passera 2 fois. Le public participe en donnant du feedback (comme un échantillon de consommateurs ou utilisateurs futurs). Le concept plaît beaucoup. Une personne en situation de handicap progresse. Et c’est gratifiant.
On associe à cette méthode itérative le mot ‘agilité’ qui donne bien l’idée d’une progression souple, sans trop de heurts, et toujours en phase avec et dans l’écoute de l’utilisateur final. Et qui permet de réaliser des prouesses créatives, rendues possibles (et c’est contre-intuitif) par l’instauration de cette contrainte de temps (le sprint).
Disrupter : proposer et développer un modèle économique qui sape les fondements de l’ancien car il a été conçu de manière agile et en tenant compte de nouvelles tendances, besoins, douleurs.
Il parle au marché instantanément et attire très vite de nouveaux clients.
Disrupt : perturber
La rhétorique c’est l’art de bien parler pour convaincre ou persuader. Victor Ferry introduit une distinction entre convaincre et persuader :
Convaincre : changer une opinion
Persuader : déclencher une action
On peut se poser la question de savoir si c’est couper les cheveux en 4 ou si c’est une
distinction opérante.
Objet connecté, plateforme connectée : objet ou service qui capte, traite les données et apprend en simultané à améliorer le service pour lequel il a été conçu, en symbiose avec son environnement et en interaction avec ses utilisateurs.
Peut-on faire de l’agilité un concept malléable et maniable par tous ?
Comment la voix humaine et la rhétorique peuvent-ils créer de la valeur pour la société
et l’économie ?
Pourquoi l’oralité n’a jamais été has been - et ne le sera jamais, malgré nos SMS
ou messageries instantanées ? – et restera un outil au service du changement ?
Pourquoi il est judicieux d’appliquer la méthode start-up à l’expression orale pour connecter
avec un auditoire ou un marché ?
Comment apprendre à chacun.e à parler comme un leader authentique ?
(si besoin, ces questions peuvent être retravaillées)
Écueils et mises en garde nécessaires avant d'aborder ce sujet - Ceci est ma vision des erreurs possibles dont il faut se méfier, avant d’aborder ce thème de réflexion : (NB : Tous risques quelconques à identifier : de malentendu, d’incomplétude, de polémique. Un sujet peut parfois en cacher un autre, ou peut même déranger, sait-on jamais.)
On ne peut faire du changement une injonction. Il faut tenir compte du phénomène de RAC (réaction au changement) auquel je me suis heurté (doucement mais pas que) dans mon récent travail. Tout un chacun a le droit d’émettre des doutes ou une aversion.
On peut justement en parler.
Disrupter la prise de parole n’est pas assujettir l’oralité au triomphe de la technologie. Bien au contraire.
Par ailleurs, si parler est un besoin, écouter reste un art. Ecouter la critique, y répondre éventuellement. Ajuster ses arguments, ou persister, en fonction du feedback.
Transformations ou évolutions en ligne de mire - les enjeux qui dans ce sujet touchent (potentiellement) à mon/nos métier(s) et à leur(s) évolution(s), ou révèlent les impacts en cours : (NB : on peut évidemment parler du métier de vos clients le cas échéant)
Transformations ou évolutions en ligne de mire - les enjeux qui dans ce sujet touchent (potentiellement) à mon/nos métier(s) et à leur(s) évolution(s), ou révèlent les impacts en cours :
(NB : on peut évidemment parler du métier de vos clients le cas échéant)
On parle de + en + du marketing du cœur (le cœur renferme 40 000 neurones).
L’oralité, avec des mots usuels, concrets imagés (peindre des tableaux verbaux) parle tant à
l’imaginaire qu’au cœur des gens.
Pour qu’une association ou une organisation se démarque, elle devrait apporter de la couleur
à sa voix. Une personne qui lance une liste sans étiquette pour les municipales à Lyon va
se former avec Parler Authentique. Faut-il y voir un signe des temps ?
Par ailleurs, qu’achète-t-on aujourd’hui ? Une expérience, un ressenti. Pourquoi ? Pour pouvoir en parler ensuite autour de soi (échange de 'monnaie sociale' : on parle de ce qui nous donne l’air cool et branché)
Dès qu’un collaborateur ou une collaboratrice en entreprise parle en public (réunion, séminaire, workshop, conférence… ) comme un orateur ou une oratrice de talent, c’est nouveau, inattendu, rafraichissant. On en reparle car l’expérience a été agréable.
Exprimer un ressenti, en racontant à un auditoire l’histoire d’une entreprise, d’un service, d’un produit, ça n’a rien de has been. Le storytelling n’est pas cantonné à un article de blog en ligne ou à un texte rigolo lu sur un produit en rayon, manufacturé en série.
Idées associées à cette thématique de réflexion qui ne font pas consensus et justifient qu’un débat pédagogique s’installe - ou qu'elles constituent un levier de discussion stimulant : (NB : aucun sujet n’est heureusement complètement lisse, et trouver les aspérités propices au débat révèle de façon plus instructive (notamment pour intéresser l'audience) la problématique de fond. L’enjeu est ici de nous permettre de rebondir, de corser le talkshow/débat, de l'approfondir au prétexte de ces possibles divergences de vues entre spécialistes.)
De + en + de personnes s'improvisent 'coachs' ou formateurs, et investissent les réseaux sociaux avec des messages. Quelqu'un qui propose des briques de prise de parole en public, à la méthode start-up, a forcément quelque chose à cacher.
Authentique est un mot galvaudé. Parler authentique c’est subjectif, et ça n’a rien d’objectif.
(Oui le pari est osé de mettre la prise de parole authentique en étendard)
La montée des populismes montre le jeu dangereux auquel on peut nous identifier
« Parler authentique, c’est parler pour le peuple finalement, comme tous ces politiciens qui vendent du rêve et disent parler vrai (y compris par messagerie interposée) (cf Bolsonaro qui a utilisé le réseau Whatsapp pour faire campagne et ça a fait polémique).
Parler authentique sur un réseau social, qu’est-ce que cela veut dire ? Est-ce que ce ne serait pas un nouveau type de troll ?
Mes préconisations pour avancer selon mon approche, mes propositions de choix méthodologiques. Nous avons traité le sujet : voici un ou plusieurs exemples de mises en pratique possibles, telles que je les conçois ou telles que je les ai déjà vécues :
Apprendre à élever la voix, dans le bon sens du terme : en augmenter le volume sans forcer,
la porter sans importuner, l’ennoblir sans trop de solennité.
Je crois que j’ai déjà donné des éléments concrets, en termes de méthodes, dans les points
précédents (notamment dans mon storytelling).
Peut-être que dans un pays, la France, où la tradition se respecte (et obtient dans certains cas des subventions), il est possible de faire admettre qu’on peut garder une tradition orale de respect vis-à-vis d’institutions sociales, culturelles, historiques, en appliquant une méthode moderne de communication orale.
Prototyper sa prise de parole ne nécessite pas de masques 3D ou d’appareil auditif
ou buccal (que sais-je). Il s’agit juste de faire entendre sa voix.
Je préconise de lire "Makestorming : le guide du corporate hacking" (Marie-Noéline Viguié
et Stéphanie Bacquere). C’est un ouvrage qui donne des outils pratiques pour innover
quand la hiérarchie résiste où l’environnement se fige.
Pour faire bouger les lignes et convertir les dernières parties prenantes qui résistent au changement, et à l'attention de tous ceux qui s'opposent à sa mise en œuvre : (NB : Qu’est-ce que vous pourriez énoncer de surprenant, à contre-courant, qui puisse faire l’effet d’un électrochoc salutaire ? Objectif : trouver le bon argument pour achever de convaincre et séduire, faire passer une vision, une idée importantes sur le sujet que vous avez choisi).
Vous lancez une initiative citoyenne sous le sceau de l’innovation sociale, ou vous lancez un produit conçu en partenariat public-privé ou autre. Sur le blueprint, votre initiative, votre produit ou service a passé toutes les étapes : idéation, validation marché, compatible, démarche durable.
Et puis, le jour J, devant les leveurs de fonds ou les pouvoirs publics, soudain, les mots vous manquent. Vous bredouillez, une main posée sur la nuque, l’autre enserrée autour du micro. Vous n’entendez pas la question qu’on vous pose et vous y répondez mollement.
Vous pensiez que la prise de parole aurait de l’impact, naturellement, car le projet est beau.
Or, tout public est très sensible à la façon dont on s’adresse à lui et dont on lui parle d’un produit. Tout est question de style. De façon contre-intuitive, cela se travaille.
Voilà pourquoi, à mon avis, envisager la prise de parole / le pitch comme la brique fondatrice
d’un projet n’a rien d’insultant au regard de l’orateur ou de l’entreprise. Bien au contraire.
Si elle ou il sait en parler aussi bien à l’oral que dans ses mails, ses Slack ou ses groupes Whatsapp, ce speaker sera gagnant.
Des paroles tout en tact, des projets qui impactent.
Ma suggestion de profils de speakers à inviter pour alimenter le débat et l'organiser de façon pertinente : (NB : Qui d’autre aimeriez-vous voir intervenir sur un sujet comme celui-là ? Qui peut polémiquer face à qui ? Vos idées nous intéressent : non, malgré les apparences nous ne connaissons pas tout le monde...)
Stéphan Galy, fondateur de l’IRIIG, une école Innovante, incubée au H7 à Lyon.
Laura Besson, fondatrice de Bien dans ta Boite (la santé pour les entrepreneurs).
Pierre de Sousa, fondateur de Skilder (recrutement par les soft skills), start-up que j’ai
associée au Centrale Digital Lab de Centrale Lyon et qui a travaillé avec des élèves ingénieurs
sur l’analyse numérique des inflexions vocales.
Flavien Chervet, fondateur d’Exoflow (incubation d’intrapreneurs) et créateur du Mindfhack. Excellent orateur, il a paré au TED X de Centrale Lyon sur ‘Le nouvel humanisme rendu possible
par l’IA)’
Je connais ces personnes, je les ai toutes croisées dans la vraie vie.
Dans cette interview il manque une question... et je vous en livre la réponse même si vous n'avez pas pensé à me la poser ! (NB : précisez ici une question que vous auriez aimé que l'on pense à vous poser)
Quelle est votre définition du leadership ?
(Quelles sont selon vous les caractéristiques d’un leader qui comprend réellement le monde
dans lequel nous évoluons aujourd’hui, comment elle ou il parle en public, comment
elle ou il s’exprime, comment elle ou ils parle aux jeunes comme aux moins jeunes
générations. Comment une Web TV peut-elle faire émerger des leaders en entreprise,
dans une association, ou dans n’importe quelle organisation collective?)
Est-ce qu'on peut enseigner cette méthode à l'école ?
Elle peut faire naître ou faire connaître des vocations pour celles et ceux qui s’y expriment.
Elle est un exercice de synthèse. Elle offre une chance, celle de parler en format vidéo. Avec du contenu de valeur.
Idéal à l’heure où les podcasts, en plein essor, attirent des auditeurs.
Ajoute l’image au son, et tu rends les messages encore plus subtils (micro expressions, attitude
corporelle, intensité du regard, …)
Une forme de disruption de la plateforme Youtube ?
Le mot de la fin : accompagner.
On ne martèle plus des discours façon énarque. Ça ne parle plus aux gens, quels que soient
les figures de style que l’on emprunte.
Il faut accompagner la parole du regard ou du geste. Et accompagner celles et ceux que l’oralité effraie, dans ces temps de transformation..
Car l’art du pitch est un jeu gagnant gagnant.
Et cela ne s’improvise pas : ça s’apprend.